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Entrée dans le moulin payante : 3 €
Enfants : gratuit jusqu'à 12 ans
Entrée gratuite pour les donateurs sur présentation de la carte et pour les adhérents de l’association Lo Patrimòni / les Amis du moulin de Gignac à jour de leur cotisation.
SAMEDI 28 JUIN A EU LIEU L'INAUGURATION DE LA BIBLIOTHÈQUE " PIERRE CÉROU" EN PRÉSENCE D'Alfred TERLIZZI (Vice-président de Cauvaldor chargé de la Culture) et d'un descendant de Pierre CÉROU
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Photos Michel Le Bris
La plaque dévoilée (cliquer sur ce lien)
AVEC Juliette ARMANET - Bastien BOUILLON - François ROLLIN
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TARIFS
Entrée adulte : 6 €
Entrée jeunes (- de 25 ans) : 3 €
Titulaire de la carte de soutien : 4 € (toutes les infos sur la carte de soutien à CinéLot )
Pass Culture (sous conditions d'éligibilité) : 6 places pour 18 €
SAMEDI 28 JUIN À 17 H
HALLE DOUSSOT À SOUILLAC
CONCERT DES ÉLÈVES DE L'ÉCOLE DE MUSIQUE DONT LA CHORALE " CANT'SOUILLAC" DIRIGÉE PAR SIMONA BORDES
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BIBIOTHÈQUE DE GIGNAC
INAUGURATION DE LA PLAQUE COMMÉMORATIVE " PIERRE CÉROU "
PAR CAUVALDOR
APÉRITIF OFFERT PAR LA MAIRIE DE GIGNAC
L’APRÈS-MIDI AURA LIEU UNE ANIMATION « JEUX DE SOCIÉTÉ »
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Dans le cadre de l'opération RÉSURGENCE PROFONDE INTUITION, Cauvaldor installe des plaques commémoratives pour perpétuer le souvenir d'artistes originaires de l'une des communes de la communauté de communes, ou ayant séjourné dans l'une de ces communes. Pour Gignac, c'est Pierre Cérou (1709-1797) qui a été retenu. Sur cette plaque apposée sur le mur extérieur de la bibliothèque on pourra voir le portrait de ce Gignacois réalisé par Giuseppe Baldrighi, peintre officiel de la cour du duc de Parme, et lire le texte suivant :
“ Auteur de pièces de théâtre, Pierre Cérou, né à Gignac en 1709, a été le précepteur de l’infante d’Espagne Marie-Isabelle de Bourbon-Parme, petite-fille de Louis XV. Il connaît au XVIIIe s. un succès notable avec sa comédie L’Amant, auteur et valet, jouée plus de deux cents fois au Théâtre des Italiens, traduite en Néerlandais, Allemand, Polonais et Anglais jouée aux USA et à Moscou. Plusieurs représentations de cette pièce sont données à Versailles par la Comédie Française. Puis Pierre Cérou sombre dans un oubli complet. Ce n’est qu’en 1978 que l’université américaine d’Exeter le remet en lumière en inscrivant sa comédie au programme des étudiants en littérature française. En France, cette œuvre a été rééditée en 2007, accompagnée d’une biographie, d’une étude historique de l’œuvre et d’une notice littéraire. Elevé au grade de chevalier de l’Ordre de Malte, il meurt à Gignac en 1797.”